"Mes premiers dessins de tennis remontent au moment où, à l'âge de onze ans, j'ai tapé mes premières balles. Dessin et tennis ces deux mots sont frères. On glisse sur un court comme le fait un crayon sur la feuille. Joueur, j'emportais dans une housse une boîte de balle et une boîte de couleurs. Ces croquis, dessins et peintures sont des simples notes, qui le plus souvent accompagnent et prolongent une émotion née d'un geste, d'un mouvement, d'un lieu, d'une rencontre." Jean Lovera.